Découvrez le patrimoine architectural des villages environnants !
La Communauté de Communes de Bléré Val de Cher vous accueille !
Des trésors de notre patrimoine se cachent parmi les plus beaux sites de la Région Centre : églises, lavoirs, loges de vigne, moulins, sites troglodytiques et belles demeures piqueront votre curiosité.
Le site, comme beaucoup d’autres sur le territoire, trouve son origine au Néolithique. Le nom d’Athée viendrait de l’époque pré-gauloise et serait issu de ATTEGIA.
Plusieurs sites intéressants font le patrimoine d’Athée.
L’église Saint Romain :
Elle est datée des XIe et XVe siècles. Son clocher est inscrit à l’inventaire des monuments historiques.
La tour de l’ancienne Magnanerie :
Située derrière l’église, c’est un ancien élevage de vers à soie.
La tour de Brandon :
A 4 kilomètres du bourg, elle peut être datée du XIIe siècle. Sa hauteur est de 19 mètres.
Attention : il s’agit d’un domaine privé.
L’aqueduc gallo-romain de Fontenay :
Il captait les eaux de plusieurs sources du sud-ouest de Bléré pour les acheminer vers Caesarodunum, aujourd’hui Tours. Les vestiges de cet aqueduc se trouvent à proximité du Cher.
Le château de la Chesnaye :
Cette propriété, aujourd’hui privée, connue au Xe siècle sous le nom d’Athéis, était un fief relevant du domaine du Brandon, puis de Châteauneuf et ensuite de Montbazon. On lui rattacha ensuite le Château de la Chesnaye. Jeanne d’Arc y serait passée avec sa troupe en 1429.
Au XXe siècle, la famille LAMOTHE, propriétaire du lieu, en fit don à la Compagnie des filles de Charité, pour faire une maison de retraite, existante encore à ce jour.
On suppose qu’un souterrain aurait relié le Château à la Tour de Brandon car un escalier subsiste sous l’ancienne chapelle. La propriété connut une période de prospérité avant 1914, durant laquelle des chasses à courre étaient organisées.


Après l’installation des premiers habitants au Néolithique, Bléré s’est surtout développé aux périodes gallo-romaines et médiévales. Les premiers écrits sur la ville datent du 4e siècle et mentionnent du site « IN BRIOTREIDE VICTUS » ce qui signifie : le village au pied du pont.
Chapelle Jehan de Seigne :
Dans l’actuel jardin public, Place de la République, à la place de l’ancien cimetière de Bléré, subsiste cette chapelle exceptionnelle, classée Monument Historique en 1875. C’est une chapelle funéraire et commémorative, édifiée en 1526 par Jehan de Seigne à la mémoire de son père, Guillaume de Seigne, seigneur de la Lande et trésorier général de l’artillerie de François 1er.
La Coursicauderie :
Nommé également «Hôtel Lemaître», ce bâtiment est construit en 1840, pour Auguste Lemaître qui prenait la même année ses fonctions de Maire de Bléré. Il remplaça une bâtisse plus ancienne dont ce dernier avait hérité. En 1970, la Coursicauderie est vendue à la Ville de Bléré qui y installe la Mairie en 1981.
Le Belvédère :
Cet étonnant bâtiment se caractérise par son dôme, couvert d’un lanternon à balustrade, dont la toiture évoque un observatoire astronomique. Il a été construit en 1832. A l’intérieur, il existe un grand escalier central autour duquel s’articule la distribution des pièces. Il semble que l’architecte se soit inspiré du château de Bagatelle au Bois de Boulogne. Ce bâtiment est très bien conservé intérieurement comme extérieurement et est maintenant une chambre d’hôtes.
Le Grand Logis :
Ce manoir, également nommé « La Châtellenie », situé au Sud du bourg, constituait le logis seigneurial de Bléré. Les seigneurs de Bléré nous sont connus depuis le XIe et se succédèrent jusqu’en 1837, lorsque le château fut vendu à la famille Bullot. Il est aujourd’hui la propriété de la commune de Bléré.
Le moulins Cavier des Aigremonts :
Construit en 1848, il devient propriété de la commune de Bléré en février 2003. C’est un authentique moulin cavier qui servait à moudre le grain. Sa base est composée de quatre caves en tuffeau. Principalement construit de pierre et de bois, il mesure près de 18 mètres de haut. Il a retrouvé son allure grâce à la pose des ailes en décembre 2006.


Autrefois appelé CERATUM par Grégoire de Tours, Céré-la-Ronde jouit d’un riche patrimoine historique. Fondé au VIe siècle, le village compte aujourd’hui quatre châteaux. Céré-la-Ronde est l’une des portes d’entrée de la Touraine et est également le point culminant du département à 188 mètres d’altitude.
Le Château de Montpoupon :
Constitué d’un logis fortifié dès le XIIe siècle, ce château connaît des modifications jusqu’au XIXe siècle et début XXe siècle, ce qui lui donne son aspect Renaissance, à l’image de la région. Entièrement meublé et habité, la propriété renferme le musée du Veneur où l’art de la chasse à courre, tradition familiale, y sont exposés.
L’église Saint Martin :
Édifiée au XIIe siècle et reconstruite au XVIe siècle, cette église présente un charmant mélange de styles et d’époques. L’ancien presbytère attenant à l’église a également été édifié au XIIe siècle.
Le village abrite trois autres châteaux privés :
Le Château de Biard (XIXe siècle), le Château de Razay (XVIIe-XIXe siècles) et le Château La Ronde (fin XIXe siècle).

Outre le Château, le village de Chenonceaux est connu pour avoir eu le le célèbre médecin Bretonneau comme maire vers 1850.
L’architecture de ce charmant village a gardé, en de nombreux endroits, son aspect des siècles passés.
L’église Saint Jean Baptiste :
Cette église communale vaut le coup d’oeil pour les fonds baptismaux offerts par Catherine de Médicis. Sur la place, on aperçoit la Maison des Pages de François 1er, construite au XVIe siècle.
L’ancienne maison de garde-barrière :
Inattendue, cette maison construite en style gothique à la demande du Château, est classée.
Le Château
Succombez au charme du Château des Dames, merveille de la Renaissance et du Val de Cher.


Le charme de Chisseaux, c’est de se promener sur la rive droite du Cher, où l’on peut flâner en longeant l’écluse, le barrage à aiguilles en bois. Chisseaux est l’un des plus grands bourgs de Touraine connu déjà sous Grégoire de Tours. Sa plus ancienne activité connue fut celle d’un atelier monétaire.
Diane de Poitiers acquît le fief en 1555 et l’incorpora à sa châtellenie de Chenonceau.
L’église Saint Pierre :
Elle date du Xe siècle , le chœur et le clocher sont du XIIe siècle. Sur la paroi nord, il faut remarquer un fragment de fresque du XIIIe siècle représentant la Cène, dont subsiste seulement l’image du Christ et des cinq apôtres assis à sa droite.
Le Moulin Fort :
Un très beau manoir fut bâti au début du siècle dernier sur les piles de cet ancien moulin situé dans une île du Cher.


On trouve plusieurs origines au nom de Civray : SILVARIACUM qui signifie lieu forestier ou SEVERIACUM, nom romain d’un riche propriétaire.
L’église Saint Germain :
Elle est classée monument historique depuis 1946.
Datée du XIIIe siècle, elle est dédiée à Saint Germain car au VIe siècle, Civray était un domaine appartenant à ce dernier, alors évêque de Paris.
Les parties les plus anciennes de l’édifice, la nef et le transept, ont aujourd’hui près de 900 ans. Une pierre d’autel armoriée (XVIIe siècle) provient du Donjon de Mesvres.
L’église occupe l’emplacement d’un sanctuaire plus ancien : on a retrouvé au XIXe siècle, les vestiges d’un baptistère carolingien (VIIIe siècle) équipé d’un dolium (cuve en poterie) qui devait être à l’origine une grande jarre utilisée pour le stockage du grain.
Donjon de Mesvres :
La Vallée de Mesvres se situe en limite ouest de la commune, à 3 kilomètres. Il s’agit d’une petite agglomération longiligne qui s’étend sur près de 2 km, le long du ruisseau du même nom, lui-même affluent du Cher. Le château occupe une position centrale dans la vallée.
Les parties les plus anciennes datent des XIIe et XIIIe siècles mais le bâtiment fut en grande partie reconstruit au XVe siècle.
On peut encore voir la silhouette du donjon carré. Une chapelle lui est accolée. Des restes de douves et plusieurs souterrains sont également conservés.
Le Château de Civray :
Bâti en 1715 par Louis Lhomme de la Pinsonnière, il fut remanié sous la Restauration et prolongé par deux pavillons. Le parc paysager de 4 hectares classé, ouvert au public, est composé d’arbres centenaires, de massifs colorés agrémentés d’un bassin avec fontaine.
Le Château de la Grillonnière : XVème – XVIème siècle
Le logis de Diane : XVIème
Le Manoir de Thoré : XIXème siècle


Commune établie sur les terres d’une ancienne villa gallo-romaine du nom de son propriétaire CICONIS, appelée villa CICINIACUM. Le nom actuel aurait été adopté au XVIIe siècle sur la carte de Cassini.
Les hameaux et lieux-dits :
Le Bouchet
Les Pallus, ancienne propriété de l’abbaye de Saint Julien de Tours
Les Tabardières, ancienne propriété des Chartreux du Liget
Charlé, ancienne propriété de l’archevêché de Tours
Villepou, ancienne propriété de la Collégiale Saint Martin de Tours
Courçay est un bourg situé dans une des parties les plus pittoresques de la Vallée de l’Indre bordé à cet endroit d’une suite de rochers où les eaux jaillissent de toutes parts.
L’église Saint Urbain :
Datée des XIIe et XVe siècles, cette église est un sanctuaire dont l’architecture, surtout celle du clocher en pierre, de forme octogonale, est caractéristique des constructions religieuses rurales de la Vallée de l’Indre. Les éléments remarquables de cette église sont sa cloche datant du XVIe siècle et la cuve baptismale du XIIe siècle.
Le manoir de la Grande Couture :
Il s’agit d’un ancien logis du XVIème siècle, pourvu d’une porte d’entrée à laquelle est accolée une tourelle d’escalier.
Le Manoir de Chemallé : XVIème siècle
Le Moulin de la Doué : XVIème et XVIIème siècles


Dès le XIème siècle, et jusque vers 1250, on cite le nom de Saint Quentin-près-Bléré pour ce village alors construit autour de son église. Erigée d’abord en châtellenie relevant de l’archevêché de Tours, puis en baronnie, cette bourgade appartient, dès le XIIème siècle, à la famille de Sainte Maure puis à la maison de Maillé.
L’église Saint Quentin des Près :
L’abside semi-circulaire et les trois baies en plein cintre font de cet édifice un magnifique exemple de l’art roman du XIIe siècle. Les bras des transepts sont doublés par des absidioles, le clocher octogonal comporte de petites ouvertures romanes. Le porche prolonge la nef de l’église non voûtée. A l’intérieur, des modillons sont visibles au chevet. L’église renferme une piéta du XVe siècle.
La Château de la Herserie :
Ce château situé dans un vallon ombreux et entouré d’un parc aux arbres centenaires, a été construit au XIXe siècle par les familles Noizay et Loiseau de Lavresne, dont la branche aînée des descendants est la famille d’Argent de Deux-Fontaines et la branche cadette, les familles de Sarrazin de Sade et de La Bassetière. Certains membres de ces familles résident encore à La Croix-en-Touraine.
Le Château de la Gaillardière :
Construite à la sortie du bourg, sur la route de Dierre, cette demeure privée du XVIIIe siècle montre une façade à fronton et à ouvertures symétriques. C’était à l’origine une closerie de vigneron avec maison de maître. Au nord, derrière la façade principale, se dresse une fuie carrée du XVIe siècle qui devait être autrefois entourée de bâtiments de nos jours disparus.
Le Parc Edouard André :
Créé par Edouard Francois André, paysagiste francais du XIXéme, réputé pour ses parcs et ses recherches horticoles de part le monde. Ce parc a été un terrain d’expérience : en aménagement, en botanique et en horticulture. D’environ 3ha, il fait l’objet d’une mise en valeur en 2010, avec un kiosque à musique et la création d’une roseraie thématique. De plus 5 des plus beaux arbres du Parc sont éclairés.
L’étang des 3 Merlettes

A l’époque mérovingienne, il y aurait eu un atelier monétaire des monnaies frappées. Daria Vircus, premier nom de Dierre, qui devint par la suite Dédera, Deera, Dierra, Dière, Dierres au siècle dernier.
Coquiau :
Ancien fief fortifié, au XVe, le manoir appartenait à Jean du Puy, fidèle compagnon de Jeanne d’Arc.
Le Prieuré :
Ancien monastère pratiquement détruit.
L’église du XIe siècle :
L’église Saint Médard, datée des XIIe et XVIe siècles, retrace par sa façade ouest l’évolution de plusieurs styles des XIIe, XVe et XVIe siècles.
Elle appartient d’abord primitivement au chapitre d’Orléans qui fut vendue en 1040 à Richer, abbé de St Julien de Tours, puis à son monastère qui avait titre de Seigneur de Dierre. Un prieuré, créé plus tard, appartient, lui, à l’abbaye de Beaulieu.
Au XVe siècle, la nef est doublée par un collatéral au sud grâce au Trésor Royal et à la corporation des bouchers d’Amboise qui obtient en échange le droit de passage dans les prés voisins ; les blasons respectifs de ces donateurs sont encore présents sur les clés de voûte. C’est ce qui lui valut la visite de la Reine d’Angleterre le 20 avril 1963 qui désirait voir une modeste église de campagne. La Reine-Mère fut d’autant plus intéressée que les Plantagenêts furent non seulement Comte d’Anjou et de Touraine, mais aussi Rois d’Angleterre.
Au XVIe siècle la construction d’un collatéral nord est entreprise mais reste inachevée. Le chevet et le chœur de l’église datent de la fin du XIIe siècle. Ce dernier est voûté sur croisées d’ogives de style angevin et éclairé par trois baies accolées en plein cintre. Le clocher édifié en même temps que le collatéral nord vers 1520, présente sur une base carrée un étage octogonal supportant une fléche de la même forme. L’église renferme les statues d’une Piéta du XVe siècle et d’un St Médard du XVIIIe siècle.
L’aérodrome :
Il se situe dans la plaine du Cher, où vous pouvez effectuer votre baptême de l’air.
Lové dans un site vallonné, Epeigné constitue une halte verdoyante sur la route des châteaux de Chenonceau et Montpoupon.
Eglise Saint Aignan :
Elle date du IXe siècle. La paroisse appartenait en 816 à l’abbaye de Villeloin.
Le chœur voûté en cul-de-four et le croisillon nord en berceau remontent au XIIe et XIIIe siècles. La nef, particulièrement étroite, est divisée en deux travées carrées à six voûtes d’un type rare. A l’entrée du choeur, près de la statue de Saint Vincent, se trouve la “corne” du saint, haute d’environ 2 mètres. Le prieuré accolé à l’église a été très remanié.
Source Saint Aignan :
En contrebas de l’église, un escalier puis un plan incliné permettent d’accéder à l’eau de la source de Saint Aignan. L’église a certainement été bâtie au-dessus de cette grotte pour christianiser le site. Les restes d’un souterrain refuge en sont voisins. Un petit autel contenait une statue. Autrefois, un pèlerinage avait lieu à la fontaine. L’eau est réputée pour débarrasser les enfants de la teigne et des dartres.
Francueil serait issu de Francolio, village clairière en Gaulois. La commune s’étend de la Vallée du Cher, au nord, au plateau de la Champeigne tourangelle au sud. Le vignoble est implanté sur les côteaux qui les rejoignent. Le bourg et la plupart des hameaux sont implantés sur des points hauts, vestiges des fiefs du Moyen Age.
Eglise Saint Thibault : monument historique du XIème et XVIème siècles.
Prieuré : XIIIème et XVème siècles
Ancien presbytère : XVème siècle
Château des Ouldes : XIème siècle
Manoir de Cambalu : début XVIIème, loges de vignes et Puits.
Luzillé, commune de 770 habitants, trouve l’origine de son nom dans Lux la lumière : située sur la route des châteaux de Loches à Chenonceau, la commune s’étend sur 4000 ha dont 600 ha de bois, elle est traversée par le ruisseau du “Beugnon”.
L’histoire de Luzillé est très ancienne, comme en témoigne le polissoir de la pierre Saint Martin, classé monument historique en 1952. L’église bâtie au XIIè siècle, dédiée à Sainte Lucie, a été remaniée au XVe siècle et XVIIIe siècle.
A voir également, l’étang de Brosse, sur le cours du Beugnon qui est classé site protégé depuis 1981 (privé).
“Sanctus Martinus de Bello” (Saint Marin de la Guerre), lieu-dit où les Tourangeaux mirent les Normands en déroute en 903, en brandissant les reliques de Saint Martin. Devenu Saint-Martin-Le-Beau au XIXe siècle.
Eglise Saint-Martin :
Elle est datée des XIIe et XVIe siècles. Remarquable par son portail Roman (l’un des plus beaux de Touraine), l’église vaut une visite appronfondie. Les différentes étapes qui ont conduit à l’édifice actuel sont facilement discernables.
Maison dite de Thomas Bohier :
Cette belle demeure Renaissance fut la propriété de Thomas Bohier, secrétaire des finances de nombreux rois de France, seigneur de Saint-Martin-le-Beau et de nombreux autres fiefs. Il est à l’origine de la reconstruction du Château de Chenonceau, qui fut sa propriété de 1496 à 1512. Aujourd’hui, le manoir est un lieu culturel où sont organisées de nombreuses expositions.
Hôtel de la Monnaie : XVIIe siècle
Les lavoirs :
Les lavoirs de Saint André, de Fombêche et du centre bourg conservent encore aujourd’hui leurs planches à laver en bois.
Son origine peut être du latin Sabulum “sable” mais qui être encore plus lointaine.
Sites archéologiques :
Plusieurs sites archéologiques très importants ont été fouillés entre 1962 et 1968 par l’archéologue Gérard Cordier.
– Deux tumulus au lieu-dit “Les Danges” et du mobilier datant de 500 avant JC ont été mis à jour. Une urne cinéraire est visible au musée des Antiquités Nationales.
– Un cimetière de l’époque mérovingienne et divers objets remontant de 1800 avant JC ont été découverts au XIXe siècle.
– Quelques éléments de l’âge de fer ont également été trouvés ainsi qu’un puits gaulois quia été exploré au lieu-dit “Les Beauces”. Une urne funéraire datant du Ier ou du IIe siècle est au Musée de la Société Archéologique de Touraine.
On trouve également, sur Sublaines, les vestiges d’une villa gallo-romaine, une voie romaine Amboise-Loches, ainsi que deux fermes à tour rectangulaire : la ferme de Cour dont le premier étage servait de colombier et la ferme de Homme parfois dénommée “Le Pavillon”, datant toutes deux du XVIe siècle.
L’église Saint Martin :
L’église paroissiale Saint Martin date du XIIe siècle. Elle est surmontée d’un beau clocher roman portant deux fenêtres par côté et décorées d’arcatures. Au XVe siècle, elle est restaurée et embellie. L’abside en cul de four à cinq pans est percée de cinq fenêtres en plein cintre. Il y a deux portes : la porte principale en plein cintre surmontée d’une accolade et une petite porte côté nord. La sacristie est couverte de tuiles plates.
A l’intérieur, l’édifice abrite une cuve baptismale en pierre du XVIIe siècle et un banc d’œuvre du XVe siècle, une statue de pierre du XVe représentant la Vierge et l’Enfant et une autre statue de pierre du XVIe siècle figurant Ste Catherine.
Les murs étaient décorés de peintures couleur rouge foncé, représentant des personnages en costumes d’époque (un homme vêtu d’un pourpoint et une femme auréolée). La nef est en voûte et le cœur en berceau brisé.